วันศุกร์ที่ 23 ธันวาคม พ.ศ. 2554
Noël
Noël est une fête chrétienne célébrant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité, fixée au 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien (c'est à dire le 7 janvier du calendrier grégorien) par la plupart des Églises. À l'origine, il existait à la même date une fête païenne marquant, sous différentes formes, le solstice d'hiver.
Au xxie siècle, Noël revêt un aspect largement profane. Elle est devenue une fête commerciale et un moment de l'année célébré, y compris par des non-croyants. Cette fête est caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux, particulièrement (mais pas seulement) à destination des enfants, qui dans plusieurs pays occidentaux associent ces cadeaux au personnage du Père Noël.
Étymologie
Le mot Noël (dont la première attestation écrite date de 1112) est issu par évolution phonétique (nael) et modification vocalique du latin natalis (« relatif à la naissance, natal »). Le o, remplaçant le a de l'ancien français nael, vient de la dissimilation des deux a de natalis tandis que le tréma (1718) note la diérèse.
Célébration
Sa célébration à la date du 25 décembre, se situe dans le calendrier julien pour les Églises orthodoxes, et dans le grégorien pour l'église catholique romaine et protestante ; le jour de la saint Emmanuel, a été fixée tardivement dans l'empire romain d'Occident, vers le milieu du ive siècle.
C’est à partir du iiie siècle que certaines communautés chrétiennes cherchent à situer dans l’année la date de naissance de Jésus. Avant de la placer à la date d'une célébration solaire liée au solstice d'hiver, de nombreuses dates furent proposées : 6 janvier (correspondant à l'Épiphanie, date choisie par les Basilidiens vers la fin du iie siècle et reprise par les communautés chrétiennes d’Orient), 28 mars (mention dans De Pascha Computus, un calendrier des fêtes datant de 243), 18 novembre (date proposée par Clément d'Alexandrie)... Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (v.270) l'anniversaire du Sol Invictus. Pour des raisons symboliques, et dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 7 janvier du calendrier grégorien et au solstice d'hiver du calendrier égyptien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël.
Constituant avec Pâques une des grandes fêtes chrétiennes, Noël s'est progressivement chargé de traditions locales, mélanges d'innovations et de maintien de folklore ancien, au point de présenter l'aspect d'une fête profane populaire possédant de nombreuses variantes, dans le temps comme dans l'espace. L'association de la mémoire d'une naissance a facilité la place centrale prise par la famille dans le sens et le déroulement de cette fête. L'Église catholique romaine insiste par exemple sur cet aspect depuis l'instauration en 1893 de la fête de la Sainte Famille, le dimanche suivant le 25 décembre. Les cadeaux, sous forme d'étrennes, semblent être une réminiscence des cadeaux effectués lors des fêtes saturnales de décembre (strenae).
Le don est présent dans de nombreuses traditions, comme celle de servir un repas au premier pauvre croisé au jour de Noël, ou dans l'exceptionnelle générosité des aumônes accordées aux mendiants à la sortie de l'office célébré durant la nuit de Noël. « La période de Noël, qui est très chargée cérémoniellement, possède une certaine intensité rituelle. Même si nous vivons fondamentalement dans une société marchande, il y a dans cet échange de cadeaux quelque chose qui est de l'ordre du don et qui est universel dans son principe: ils créent, maintiennent et consolident des liens ; ils constituent en quelque sorte une matrice du social.»
La popularité de cette fête a fait que Noël est devenu un patronyme et un prénom.
Nativité de Jésus-Christ
Traditionnellement, la fête de Noël est la solennité de la nativité de Jésus-Christ, la fête commémorative chrétienne de la naissance de Jésus de Nazareth qui, d'après les Évangiles selon Luc et selon Matthieu serait né à Bethléem. Les historiens hésitent pour leur part entre Bethléem et Nazareth sans qu'une des hypothèse parvienne à s'imposer.
Seul l'Évangile selon Luc raconte cette naissance. L'Évangile selon Matthieu ne fait que l'évoquer mais trace une généalogie à Jésus, tandis que les Évangiles selon Marc et selon Jean débutent le récit de sa vie par sa rencontre avec Jean le Baptiste.
วันอังคารที่ 13 ธันวาคม พ.ศ. 2554
Val de Loire
Le Val de Loire, tel qu'il a été inscrit en 2000 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, désigne la partie de la vallée de la Loire située entre Sully-sur-Loire (dans le Loiret) et Chalonnes-sur-Loire (en Maine-et-Loire). Ce territoire regroupe les anciennes provinces d'Orléanais, de Touraine et d'Anjou. Il constitue un site exceptionnel pour sa diversité biologique ainsi que pour sa richesse historique et culturelle (parcs, châteaux et villes).
Survol rapide
Cette partie du fleuve traverse deux régions, le Centre et les Pays de la Loire, et quatre départements, le Loiret, le Loir-et-Cher, l’Indre-et-Loire et le Maine-et-Loire. Le fleuve, orienté après Sully-sur-Loire dans la direction ouest-nord-ouest, s’incurve à Orléans pour prendre la direction ouest-sud-ouest. Dans le Val de Loire, le fleuve reçoit de nombreux affluents, principalement du sud, les trois plus importants étant le Cher, l’Indre et la Vienne.
Entre Orléans et Angers, la vallée est souvent bordée de petites falaises de tuffeau et de calcaire. De nombreux îlots et bancs de sable ou de gravier parsèment le cours du fleuve, dont la profondeur et la largeur varient considérablement d’une saison à l’autre et d’une année à l’autre. Les crues de la Loire ont généralement lieu en hiver et, grâce à la présence de digues (levées) sur la plus grande partie de son cours, sont le plus souvent sans conséquences graves. La vallée a cependant connu dans son histoire des inondations importantes, parfois catastrophiques, en toutes saisons. Leur trace est conservée de place en place grâce à des indications de hauteur et d’année sur les digues ou les bâtiments.
En descendant le cours du fleuve, on rencontre les villes d’Orléans, Blois, Amboise, Tours, Saumur et Angers (un peu à l’écart du fleuve, sur la Maine), mais également de nombreux bourgs et villages, ainsi que certains des châteaux de la Loire, notamment ceux de Sully-sur-Loire, Blois, Chaumont-sur-Loire, Amboise, Saumur, d’autres étant situés à l’écart du fleuve, souvent près d’un de ses affluents, comme Chambord près du Cosson, Chenonceau sur le Cher, Azay-le-Rideau sur l'Indre ou Chinon dans la vallée de la Vienne.
Histoire
Dès le paléolithique, les hommes se sont installés sur les berges de la Loire et des nombreuses rivières de la région. À partir de 10000 jusque vers 4000 av. J.-C., les populations originelles de chasseurs-cueilleurs se transformèrent progressivement en populations totalement sédentaires d’agriculteurs-éleveurs. Cette transformation fut la conséquence, à la fois de l'abandon du nomadisme par les populations locales, puis de l'arrivée de populations d'agriculteurs venues du Proche-Orient.
Les communautés se regroupèrent ensuite en sociétés structurées, pour aboutir à l'organisation territoriale des peuples gaulois autour de leurs cités. Au IVe siècle av. J.‑C., le pays des Carnutes, à l’emplacement de l’Orléanais actuel, était considéré comme le centre de la Gaule. C’est là que se tenait l’assemblée annuelle des druides. Bien avant la conquête romaine, les sites de toutes les villes importantes actuelles existaient déjà.
À l’exception des tentatives de soulèvement des Carnutes et des Andécaves, Jules César ne rencontra que peu de résistance dans la région lors de sa conquête. Les Gaulois adoptèrent rapidement le mode de vie romain, surtout dans les villes déjà existantes (Orléans, Tours, Angers), autour du forum, du théâtre et des thermes. La période gallo-romaine vit un développement important de la production et du commerce.
Le christianisme se développa à partir du IVe siècle sous l’impulsion des évêques de Tours, Orléans et Angers. Martin de Tours, un des pères de l’Église, évêque de 371 jusqu’à sa mort en 397, fut l’un des artisans les plus actifs de l’évangélisation. Des monastères furent fondés, comme ceux de Fleury (le futur Saint-Benoît) et de Marmoutier. Sous la dynastie carolingienne, deux proches de Charlemagne, Alcuin et Théodulphe, créèrent dans la région des écoles monastiques qui eurent une grande influence culturelle. Les invasions « barbares » n’épargnérent pas le Val de Loire : bien que les Sarrasins, repoussés au VIIIe siècle par Charles Martel, n’aient pu franchir la Loire, les Vikings, dès le milieu du IXe siècle, remontèrent le fleuve avec leurs drakkars et pillèrent les villes et les abbayes de la vallée.
Au Moyen Âge, le Val de Loire fut le théâtre de luttes quasiment continuelles du Xe au XVe siècle. Elles concernèrent d’abord la succession à la couronne d'Angleterre, puis la lutte entre Capétiens et Plantagenêts pour la possession du Royaume de France. Le dernier chapitre de ces luttes, la guerre de Cent Ans (1340-1453), fut marqué par les faits d’armes de Jeanne d’Arc, qui délivra notamment Orléans le 8 mai 1429, libération dont la ville commémore chaque anniversaire depuis l’an 1430, lors de ses Fêtes johanniques.
La Renaissance vit l’apogée du rôle du Val de Loire au sein du Royaume de France. De Louis XI, qui fit de Tours sa capitale en 1461, jusqu’à Henri IV qui la ramena à Paris en 1594, le centre du pouvoir demeura dans la région. Les Valois, qui avaient découvert en Italie une nouvelle esthétique et un nouvel art de vivre, n’ont eu de cesse de les transposer dans le Val de Loire, en y faisant venir de nombreux artistes et artisans italiens, dont le plus célèbre d’entre eux, Léonard de Vinci. Ainsi naquit ce qui fut appelé plus tard la première Renaissance française, au cours de laquelle furent rénovés les châteaux royaux d’Amboise et de Blois, puis construits des « châteaux de cour » destinés au plaisir, le plus remarquable étant celui de Chambord.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la région vit s’accroître son rôle d’axe de communication grâce à la création de canaux (de Briare et d’Orléans), ce qui constitua une période faste pour la marine de Loire. La Révolution n’entraîna pas de graves troubles dans la région et fut globalement bien acceptée, à l’exception notable de la rébellion des paysans des Mauges au sud de l’Anjou.
Au XIXe siècle, l’apparition du chemin de fer introduisit des changements radicaux dans le paysage ligérien, en faisant disparaître la navigation sur le fleuve, ainsi que l’activité des ports de Loire.
La culture du Val de Loire
Les paysages du Val de Loire, caractérisés par la combinaison harmonieuse des eaux du fleuve et de la végétation de la forêt, ont depuis longtemps inspiré les artistes. Parmi leurs premières représentations littéraires, les poésies de Charles d’Orléans et les œuvres de François Rabelais sont les plus célèbres.
À l’époque de la Renaissance, ces paysages firent l’objet de représentations littéraires, picturales et jardinières qui les érigèrent en modèles esthétiques. Grâce à la rencontre dans le Val de Loire des cultures italienne, flamande et française, un modèle paysager jardiné vit le jour autour de la Loire. L’extension du jardin et de ses techniques de culture au territoire entre fleuve et forêt a trouvé son expression la plus forte en Touraine. Cette région, très tôt célébrée comme le « Jardin de la France », a souvent servi de modèle à l’ensemble du territoire national, dont l’aspect jardiné est considéré par beaucoup comme caractéristique de la France.
Les poètes de la Renaissance, comme Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay célèbrèrent les beautés des paysages, qu’ils jugeaient aussi remarquables, sinon plus, que ceux de la région de Rome, où séjourna Du Bellay. Après la Renaissance, les paysages ligériens continuèrent à être célébrés par de nombreux écrivains, comme Jean de la Fontaine ou la marquise de Sévigné au XVIIe siècle, et, au XIXe siècle, par Alfred de Vigny, Gustave Flaubert, Honoré de Balzac, Charles Baudelaire ou même Victor Hugo, dont la sensibilité romantique s’harmonisait au romantisme des paysages de Loire.
Les représentations picturales n’apparurent que plus tardivement. La Loire ne se laisse en effet pas représenter aisément. Selon René Bazin, cette difficulté provient des trop vastes dimensions de sa vallée, et de sa lumière « fine, voilée, que ne relève aucune ombre forte, aucun contraste ». Plutôt que de la montrer dans toute son ampleur, les peintres et graveurs ont largement représenté ses ponts, ses quais et les « fronts de Loire » de ses villages et de ses villes. L’une des plus remarquables séries de tableaux sur le Val de Loire est sans conteste celle réalisée par le peintre anglais Joseph Mallord William Turner lors de son voyage entre Nantes et Orléans en 1826, qui a su inventer des points de vue originaux et utiliser les transparences de l’aquarelle pour suggérer la finesse de la lumière.
วันอังคารที่ 22 พฤศจิกายน พ.ศ. 2554
The winter.
The winter. The main river in Bangkok and Chachoengsao. There are about 230 kilometers in length and width in the range that runs through the municipality, Chachoengsao, about 100 meters in the winter. The origin of the Type and the world.Meet the standard of some sub-district house.Prachinburi. Long and 122 kilometers of the river was flowing through the province of London, called the River City. During the winter the river flows through the Province.
Winter river flows into the Gulf of Thailand at the Mae Tha Bang Province, and the amount of flow of the river Bangprakong each year. On average. After the month of April. Is the beginning of the rainy season. In the winter the water will rise accordingly. Until about August. The flow of water will gradually decrease after the rainy season. The amount of water to a minimum in December.Since the beginning of April next year will increase the flow of water into the cycle. Watershed plan. The catchment area of 7978 square kilometers. Comprehensive Province. Prachinburi.And Chonburi.The average annual runoff volume of 3712 million cubic meters
At present, water resources development projects, medium and large watersheds of 16 projects have the capacity to store 62 million cubic meters of water for agricultural lands, approximately 1,180,160 acres of water for consumption - consumption per year. 1 million cubic meters of water for agriculture, 430 million cubic meters per year, we have proposed the development of water resources, large and medium-sized In the short term plan.And long-term sub-basin in a total of 7 projects are major projects in the plan include a short-term. Reservoir Project Canal, a whip.Luang reservoir project. Dam and irrigation project plan.
Winter river flows into the Gulf of Thailand at the Mae Tha Bang Province, and the amount of flow of the river Bangprakong each year. On average. After the month of April. Is the beginning of the rainy season. In the winter the water will rise accordingly. Until about August. The flow of water will gradually decrease after the rainy season. The amount of water to a minimum in December.Since the beginning of April next year will increase the flow of water into the cycle. Watershed plan. The catchment area of 7978 square kilometers. Comprehensive Province. Prachinburi.And Chonburi.The average annual runoff volume of 3712 million cubic meters
At present, water resources development projects, medium and large watersheds of 16 projects have the capacity to store 62 million cubic meters of water for agricultural lands, approximately 1,180,160 acres of water for consumption - consumption per year. 1 million cubic meters of water for agriculture, 430 million cubic meters per year, we have proposed the development of water resources, large and medium-sized In the short term plan.And long-term sub-basin in a total of 7 projects are major projects in the plan include a short-term. Reservoir Project Canal, a whip.Luang reservoir project. Dam and irrigation project plan.
วันพุธที่ 16 พฤศจิกายน พ.ศ. 2554
Tulipe
Les tulipes forment un genre (Tulipa) de plantes herbacées de la famille des Liliacées, qui compte une centaine d'espèces originaires des régions tempérées chaudes de l'Ancien monde. Plusieurs espèces sont largement cultivées comme plantes ornementales et ont donné lieu à la création de plusieurs milliers de variétés.
Caractéristiques générales du genre
Les tulipes sont des plantes vivaces bulbeuses à tige longues, dures et solitaire, parfois tendues vers le haut.
Les feuilles sont assez peu nombreuses. Elles sont alternes, entières, à nervures peu profondes, charnues.
Les fleurs ont un périanthe constitué de six pétales à peu près similaires, les externes étant parfois un peu plus étroits que les internes. Elles comptent six étamines.
Le fruit est une capsule tripartite contenant de nombreuses graines.
Les feuilles sont assez peu nombreuses. Elles sont alternes, entières, à nervures peu profondes, charnues.
Les fleurs ont un périanthe constitué de six pétales à peu près similaires, les externes étant parfois un peu plus étroits que les internes. Elles comptent six étamines.
Le fruit est une capsule tripartite contenant de nombreuses graines.
Distribution et habitat
Les espèces de tulipes se rencontrent dans la plus grande partie de l'ancien monde, depuis l'Europe occidentale jusqu'à la Chine et au Japon en passant par l'Europe orientale (ex-Yougoslavie, Bulgarie, Ukraine), l'Asie Mineure et l'Asie centrale. Leur aire de diffusion englobe aussi l'Afrique du Nord et le sous-continent indien.Le centre de diversité du genre se situe dans les montagnes du Pamir et l'Hindou Kouch et dans les steppes du Kazakhstan.Il existe en France diverses espèces sauvages, dont beaucoup sont menacées. Il s'agit soit de grosses tulipes adventices des cultures, dont la plus connue est la tulipe d'Agen (Tulipa agenensis), soit de petites tulipes présentes dans les zones boisées ou parmi les rochers en montagne. En culture, on les appelle « tulipes botaniques », et l'une des plus fréquentes est la tulipe sauvage (Tulipa sylvestris), qui autrefois poussait souvent à l'abri des vignes et dont la sous-espèce australis est connue sous le nom de tulipe méridionale
Espèces sauvages présentes en France
Tulipa agenensis DC.
Tulipa aximensis Jord.
Tulipa billietiana Jord.
Tulipa clusiana DC.
Tulipa didieri Jord.
Tulipa gesneriana L.
Tulipa marjolleti Perrier & Songeon
Tulipa mauriana Jord. & Fourr.
Tulipa montisandrei J.Prudhomme
Tulipa platystigma Jord.
Tulipa raddii Reboul
Tulipa rubidusa Lieser
Tulipa sarracenica Perrier
Tulipa sylvestris L.
Tulipa sylvestris subsp. australis (Link) Pamp. - Tulipe méridionale
Tulipa sylvestris subsp. sylvestris
Tulipa aximensis Jord.
Tulipa billietiana Jord.
Tulipa clusiana DC.
Tulipa didieri Jord.
Tulipa gesneriana L.
Tulipa marjolleti Perrier & Songeon
Tulipa mauriana Jord. & Fourr.
Tulipa montisandrei J.Prudhomme
Tulipa platystigma Jord.
Tulipa raddii Reboul
Tulipa rubidusa Lieser
Tulipa sarracenica Perrier
Tulipa sylvestris L.
Tulipa sylvestris subsp. australis (Link) Pamp. - Tulipe méridionale
Tulipa sylvestris subsp. sylvestris
Autres espèces
Tulipa armena
Tulipa aucheriana
Tulipa biflora
Tulipa borszczowii
Tulipa butkovii
Tulipa carinata
Tulipa celsiana
Tulipa cretica
Tulipa cypria
Tulipa dasystemon
Tulipa dubia
Tulipa edulis
Tulipa ferganica
Tulipa gesneriana
Tulipa goulimyi
Tulipa greigii
Tulipa grengiolensis
Tulipa heterophylla
Tulipa hoogiana
Tulipa humilis
Tulipa iliensis
Tulipa ingens
Tulipa julia
Tulipa kaufmanniana
Tulipa kolpakowskiana
Tulipa kurdica
Tulipa kuschkensis
Tulipa lanata
Tulipa lehmanniana
Tulipa linifolia
Tulipa micheliana
Tulipa montana
Tulipa orphanidea
Tulipa ostrowskiana
Tulipa polychroma
Tulipa praecox
Tulipa praestans
Tulipa primulina
Tulipa pulchella
Tulipa retroflexa
Tulipa saxatilis
Tulipa sedunii
Tulipa sharonensis
Tulipa sprengeri
Tulipa stapfii
Tulipa subpraestans
Tulipa systola
Tulipa tarda
Tulipa tetraphylla
Tulipa tschimganica
Tulipa tubergeniana
Tulipa turkestanica
Tulipa twulipa
Tulipa undulatifolia
Tulipa urumiensis
Tulipa urumoffii
Tulipa violacea
Tulipa aucheriana
Tulipa biflora
Tulipa borszczowii
Tulipa butkovii
Tulipa carinata
Tulipa celsiana
Tulipa cretica
Tulipa cypria
Tulipa dasystemon
Tulipa dubia
Tulipa edulis
Tulipa ferganica
Tulipa gesneriana
Tulipa goulimyi
Tulipa greigii
Tulipa grengiolensis
Tulipa heterophylla
Tulipa hoogiana
Tulipa humilis
Tulipa iliensis
Tulipa ingens
Tulipa julia
Tulipa kaufmanniana
Tulipa kolpakowskiana
Tulipa kurdica
Tulipa kuschkensis
Tulipa lanata
Tulipa lehmanniana
Tulipa linifolia
Tulipa micheliana
Tulipa montana
Tulipa orphanidea
Tulipa ostrowskiana
Tulipa polychroma
Tulipa praecox
Tulipa praestans
Tulipa primulina
Tulipa pulchella
Tulipa retroflexa
Tulipa saxatilis
Tulipa sedunii
Tulipa sharonensis
Tulipa sprengeri
Tulipa stapfii
Tulipa subpraestans
Tulipa systola
Tulipa tarda
Tulipa tetraphylla
Tulipa tschimganica
Tulipa tubergeniana
Tulipa turkestanica
Tulipa twulipa
Tulipa undulatifolia
Tulipa urumiensis
Tulipa urumoffii
Tulipa violacea
Mae Klong
La Mae Klong (thaï : แม่กลอง) est un fleuve de l'Ouest de la Thaïlande. Il se forme au confluent de la Kwaï (Khwae Noi ou Kwai Sai Yoke) et de la Kwaï Yai (ou Kwai Si Sawasdi) à Kanchanaburi, traverse la province de Ratchaburi et se jette dans le Golfe de Thaïlande à Samut Songkhram, dans la province du même nom.
Dans les années 1960, le cours supérieur du fleuve, au-dessus de Kanchanaburi, fut renommé Khwae Yai (thaï แควใหญ่ : grand affluent), car le fameux pont de la rivière Kwai traversait la Mae Klong et non pas la Kwaï (Khwae Noi). L'origine de la Mae Klong se trouve dans le Parc National de Khuean Srinagarindra, dans le nord de la province de Kanchanaburi.
Dans les années 1960, le cours supérieur du fleuve, au-dessus de Kanchanaburi, fut renommé Khwae Yai (thaï แควใหญ่ : grand affluent), car le fameux pont de la rivière Kwai traversait la Mae Klong et non pas la Kwaï (Khwae Noi). L'origine de la Mae Klong se trouve dans le Parc National de Khuean Srinagarindra, dans le nord de la province de Kanchanaburi.
Histoire
Tapi
La Tapi (thaï แม่น้ำตาปี) est le plus long fleuve du sud de la Thaïlande, avec 230 km. Elle prend sa source à Khao Luang et se termine par un large estuaire sur la Golfe de Thaïlande dans la Baie de Bandon, près de la ville de Surat Thani.
Le fleuve draine un bassin de 5460 km² ; en 1997 il avait un débit annuel de 135,4 m³/s, ou 4,3 km³ par an. La Phum Duang (ou Khirirat), qui draine 6,125 km² à l'ouest du bassin de la Tapi, rejoint l'estuaire 15 km à l'Ouest de Surat Thani dans le district (Amphoe) de Phunphin.La Tapi a reçu son nom en août 1915, d'après la rivière indienne du même nom (appelée aujourd'hui Tapti), peu après que Surat Thani a reçu le sien d'après la ville indienne de Surat (située au bord de la Tapti).L'île de Ko Lamphu (เกาะลำพู) se trouve sur la Tapi, à environ 9 Km de son embouchure, juste en face du centre de Surat Thani, à laquelle elle est reliée par une passerelle.
En 1975, la chasse a été interdite dans une zone marécageuse de 29,6 km² sur la berge orientale de la Tapi dans le district de Khian Sa, la réserve de Nong Thung Thong ; en 1989, celle-ci a été portée à 64,5 km². Elle est presque complètement inondée d'octobre à décembre.
Le fleuve draine un bassin de 5460 km² ; en 1997 il avait un débit annuel de 135,4 m³/s, ou 4,3 km³ par an. La Phum Duang (ou Khirirat), qui draine 6,125 km² à l'ouest du bassin de la Tapi, rejoint l'estuaire 15 km à l'Ouest de Surat Thani dans le district (Amphoe) de Phunphin.La Tapi a reçu son nom en août 1915, d'après la rivière indienne du même nom (appelée aujourd'hui Tapti), peu après que Surat Thani a reçu le sien d'après la ville indienne de Surat (située au bord de la Tapti).L'île de Ko Lamphu (เกาะลำพู) se trouve sur la Tapi, à environ 9 Km de son embouchure, juste en face du centre de Surat Thani, à laquelle elle est reliée par une passerelle.
En 1975, la chasse a été interdite dans une zone marécageuse de 29,6 km² sur la berge orientale de la Tapi dans le district de Khian Sa, la réserve de Nong Thung Thong ; en 1989, celle-ci a été portée à 64,5 km². Elle est presque complètement inondée d'octobre à décembre.
Navires
La Tapi a donné son nom à une classe de frégates de la marine thaïlandaise : la classe Tapi, constituée par les frégates Tapi (FF 431) et Khirirat (FF 432).
Rose
La rose est la fleur des rosiers, arbustes du genre Rosa et de la famille des Rosaceae. La rose des jardins se caractérise avant tout par la multiplication de ses pétales imbriqués qui lui donnent sa forme caractéristique.
Appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l’Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, et pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs », présente dans presque tous les jardins et presque tous les bouquets. C’est sans doute la fleur la plus cultivée au monde, mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l’églantier) aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ».Les rosiers cultivés sont le résultat de plusieurs siècles de transformations d’abord empiriques, puis, dès la fin du XVIIIe siècle, méthodiques, en particulier par l’hybridation. Les variétés sont innombrables, on estime à plus de 3 000 le nombre de cultivars disponibles actuellement dans le monde.
Étymologie
Le mot « rose », daté en français du début du XIIe siècle est dérivé du latin rosa, rosae (substantif féminin) qui désignait aussi bien la fleur que le rosier lui-même. Ce terme, apparenté au grec ancien rhodon, vient du Persan rose ou warda(vieux Persan)Il est tentant de rapprocher « rose » de « rosée », pourtant cette rencontre, source d’inspiration inépuisable pour les poètes, est fortuite en français. En effet « rosée » dérive, par l’intermédiaire du bas-latin rosata, du latin ros, roris (substantif masculin), peut-être apparenté au grec ancien drosos, venant d’une autre racine indo-européenne.
La rose est l’une des très rares fleurs ayant un nom dédié, différent des noms donnés à la plante elle-même : la rose est la fleur du rosier.
Espèces
Les espèces botaniques de rosiers, qui appartiennent au genre Rosa, sont au nombre de 100 à 200 selon les divers auteurs et se répartissent en quatre sous-genres : Plathyrhodon, Hesperhodos, Hulthemia (parfois considéré comme un genre distinct) et Eurosa. Ce dernier est lui-même subdivisé en onze sections :
Pimpinellifoliae (rosiers pimprenelle), Gallicanae (rosiers galliques), Caninae, Carolinae, Gymnocarpae, Cinnamomeae (rosiers cannelle), Chinenses, Banksianae, Laevigatae, Bracteatae et Synstylae.Seules une douzaine d’espèces, et leurs taxons dérivés (variétés, formes), ont été utilisées pour créer la plupart des rosiers cultivés, généralement à fleurs dites « doubles » ou « pleines », aux très nombreux pétales. De plus en plus de formes naturelles sont cultivées dans les jardins, ce sont les « roses botaniques », dont la forme simple, semblable à l’églantine, et la rusticité s’accorde bien avec la tendance vers un jardin plus « sauvage ». Les rosiéristes modernes cherchent à exploiter la diversité du genre Rosa pour introduire dans leurs obtentions des gènes particuliers, par exemple de résistance au froid ou à certaines maladies.
Appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l’Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, et pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs », présente dans presque tous les jardins et presque tous les bouquets. C’est sans doute la fleur la plus cultivée au monde, mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l’églantier) aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ».Les rosiers cultivés sont le résultat de plusieurs siècles de transformations d’abord empiriques, puis, dès la fin du XVIIIe siècle, méthodiques, en particulier par l’hybridation. Les variétés sont innombrables, on estime à plus de 3 000 le nombre de cultivars disponibles actuellement dans le monde.
Étymologie
Le mot « rose », daté en français du début du XIIe siècle est dérivé du latin rosa, rosae (substantif féminin) qui désignait aussi bien la fleur que le rosier lui-même. Ce terme, apparenté au grec ancien rhodon, vient du Persan rose ou warda(vieux Persan)Il est tentant de rapprocher « rose » de « rosée », pourtant cette rencontre, source d’inspiration inépuisable pour les poètes, est fortuite en français. En effet « rosée » dérive, par l’intermédiaire du bas-latin rosata, du latin ros, roris (substantif masculin), peut-être apparenté au grec ancien drosos, venant d’une autre racine indo-européenne.
La rose est l’une des très rares fleurs ayant un nom dédié, différent des noms donnés à la plante elle-même : la rose est la fleur du rosier.
Espèces
Les espèces botaniques de rosiers, qui appartiennent au genre Rosa, sont au nombre de 100 à 200 selon les divers auteurs et se répartissent en quatre sous-genres : Plathyrhodon, Hesperhodos, Hulthemia (parfois considéré comme un genre distinct) et Eurosa. Ce dernier est lui-même subdivisé en onze sections :
Pimpinellifoliae (rosiers pimprenelle), Gallicanae (rosiers galliques), Caninae, Carolinae, Gymnocarpae, Cinnamomeae (rosiers cannelle), Chinenses, Banksianae, Laevigatae, Bracteatae et Synstylae.Seules une douzaine d’espèces, et leurs taxons dérivés (variétés, formes), ont été utilisées pour créer la plupart des rosiers cultivés, généralement à fleurs dites « doubles » ou « pleines », aux très nombreux pétales. De plus en plus de formes naturelles sont cultivées dans les jardins, ce sont les « roses botaniques », dont la forme simple, semblable à l’églantine, et la rusticité s’accorde bien avec la tendance vers un jardin plus « sauvage ». Les rosiéristes modernes cherchent à exploiter la diversité du genre Rosa pour introduire dans leurs obtentions des gènes particuliers, par exemple de résistance au froid ou à certaines maladies.
Rose de porcelaine
La Rose de porcelaine (Etlingera elatior) est une espèce appartenant au genre Etlingera de la famille des Zingiberaceae, originaire de Malaisie. Elle est appelée ginger torch dans les pays anglo-saxons.
Description de l'espèce
Les feuilles et tiges s'apparentent au gingembre, elles viennent par touffes. Feuilles et fleurs apparaissent sur des tiges séparées à partir de tubercules souterrains. La feuille peut atteindre 4 à 5 mètres de hauteur selon les régions. Sa fleur est l'une des plus spectaculaire des espèces tropicales, car on la croit artificielle au premier regard, tant elle est parfaite. Les variétés les plus courantes sont de couleur rouge vif, une autre porte des fleurs roses. Quand sort un bourgeon, un parfum surprenant s'en échappe.
Habitat et culture
Originaire d'Asie du Sud-Est, cette plante demande un sol riche, irrigué et protégé des vents forts.
แม่น้ำท่าจีน
แม่น้ำท่าจีน เป็นแม่น้ำที่แยกตัวออกจากแม่น้ำเจ้าพระยาที่ตำบลท่าซุง อำเภอเมือง จังหวัดอุทัยธานี กับ ฝั่งตะวันตกที่อำเภอวัดสิงห์ จังหวัดชัยนาท ไหลผ่านจังหวัดชัยนาท จังหวัดสุพรรณบุรี จังหวัดนครปฐม จังหวัดสมุทรสาคร ก่อนจะไหลออกสู่อ่าวไทยที่ตำบลบางหญ้าแพรก อำเภอเมืองสมุทรสาคร จังหวัดสมุทรสาคร มีความยาวทั้งสิ้นประมาณ 325 กิโลเมตร แม่น้ำท่าจีนมีชื่อเรียกหลายชื่อ ดังนี้ ตอนที่ไหลผ่านจังหวัดชัยนาทเรียกว่า "แม่น้ำมะขามเฒ่า" ตอนที่ผ่านจังหวัดสุพรรณบุรี เรียกว่า "แม่น้ำสุพรรณบุรี" ตอนที่ผ่านจังหวัดนครปฐมเรียกว่า "แม่น้ำนครชัยศรี" ส่วนตอนที่ไหลผ่านจังหวัดสมุทรสาครและไหลลงสู่อ่าวไทยเรียกว่า "แม่น้ำท่าจีน"
ลำน้ำสาขา
ลำน้ำสาขา
วันอังคารที่ 20 กันยายน พ.ศ. 2554
Grimms' Fairy Tales
Children's and Household Tales (German: Kinder- und Hausmärchen) is a collection of German origin fairy tales first published in 1812 by Jacob and Wilhelm Grimm, the Brothers Grimm. The collection is commonly known today as Grimms' Fairy Tales (German: Grimms Märchen).
CompositionOn December 20, 1812, they published the first volume of the first edition, containing 86 stories; the second volume of 70 stories followed in 1814. For the second edition, two volumes were issued in 1819 and a third in 1822, totalling 170 tales. The third edition appeared in 1837; fourth edition, 1840; fifth edition, 1843; sixth edition, 1850; seventh edition, 1857. Stories were added, and also subtracted, from one edition to the next, until the seventh held 211 tales. All editions were extensively illustrated, first by Philipp Grot Johann and, after his death in 1892, by Robert Leinweber.
The first volumes were much criticized because, although they were called "Children's Tales", they were not regarded as suitable for children, both for the scholarly information included and the subject matter. Many changes through the editions – such as turning the wicked mother of the first edition in Snow White and Hansel and Gretel to a stepmother, were probably made with an eye to such suitability. They removed sexual references—such as Rapunzel's innocently asking why her dress was getting tight around her belly, and thus naïvely revealing her pregnancy and the prince's visits to her stepmother—but, in many respects, violence, particularly when punishing villains, was increased.
In 1825 the Brothers published their Kleine Ausgabe or "small edition," a selection of 50 tales designed for child readers. This children's version went through ten editions between 1825 and 1858.
Influence of the booksThe influence of these books was widespread. W. H. Auden praised the collection, during World War II, as one of the founding works of Western culture. The tales themselves have been put to many uses. The Nazis praised them as folkish tales showing children with sound racial instincts seeking racially pure marriage partners, and so strongly that the Allied forces warned against them; for instance, Cinderella with the heroine as racially pure, the stepmother as an alien, and the prince with an unspoiled instinct being able to distinguish. Writers who have written about the Holocaust have combined the tales with their memoirs, as Jane Yolen in her Briar Rose.
The work of the Brothers Grimm influenced other collectors, both inspiring them to collect tales and leading them to similarly believe, in a spirit of romantic nationalism, that the fairy tales of a country were particularly representative of it, to the neglect of cross-cultural influence. Among those influenced were the Russian Alexander Afanasyev, the Norwegians Peter Christen Asbjørnsen and Jørgen Moe, the English Joseph Jacobs, and Jeremiah Curtin, an American who collected Irish tales. There was not always a pleased reaction to their collection. Joseph Jacobs was in part inspired by his complaint that English children did not read English fairy tales; in his own words, "What Perrault began, the Grimms completed".
Three individual works of Wilhelm Grimm include Altdänische Heldenlieder, Balladen und Märchen ('Old Danish Heroic Lays, Ballads, and Folktales') in 1811, Über deutsche Runen ('On German Runes') in 1821, and Die deutsche Heldensage ('The German Heroic Legend') in 1829.
La Saint-Patrick.
Quand il s'agit de la Saint-Patrick. Je me demande pourquoi les gens n'ont pas à être liée à la verte. Trois feuilles lobées, qui représentent la bonne fortune. Mais pour les Irlandais. Il y aura un grand festival en festival, la Saint-Patrick (fête de St Patrick).
Elle est célébrée le Mars 17, le jour de sa mort de saint Patrick. La protection des saints d'Irlande. Les Irlandais sont les fêtes religieuses. Comme avec l'Eglise catholique romaine en un jour donné est célébrée le dimanche qui est près du début de l'ajustement jeûne chrétien.
Saint Patrick est le saint de déclencher la protection de l'Irlande Si elle est appelée par l'accent irlandais, je dois dire. Il a été une journée nationale de la "Journée Paddy" (Jour Paddy) est observée presque partout dans le monde il ya beaucoup de pubs irlandais. Cela montre que les Irlandais sont une nation qui est fragmenté. Migré vers les différentes parties du monde comme ils ont célébré dans la République d'Irlande et d'Irlande du Nord. Aussi célèbre parmi la diaspora irlandaise aux Etats-Unis, Canada, Angleterre, Australie et Nouvelle-Zélande et des pays asiatiques. Même en Thaïlande, nous pouvons organiser un défilé pour célébrer cette fête fut d'abord tenu à Pattaya sur Mars 17, 2554 aussi.
Défilé de St Patty C'est la première fois en 1761 ou plus tard, ce fut une grande année à New York. Dans son pays natal, irlandais étaient stationnés dans l'armée de l'Angleterre est à la tête d'un défilé avec la musique jouant de la musique de danse irlandaise avec plaisir à la parade célébrant l'importance de l'Irlandais à New York a été le plus grand en dehors de l'Irlande en ont moins. de 1,5 à la parade chaque année. En effet, un défilé qui a commencé en Irlande en aucune façon. C'était la première fois aux États-Unis. Il ya une grande communauté irlandaise. La Société de bienfaisance irlandaise. S'est tenue à Boston en l'an 1737 et puis plus tard à New York. Plus tard, j'ai retourné à sa ville natale avec une ville en Irlande, la fête est religieuse, ils se déplacent à une fête, qu'ils soient chrétiens ou non joindre à la fête, la célébration universelle de St Andrews. Patterson déclencher une tradition d'accueil du printemps et la vie. Parmi la chaleur du soleil après s'être cachés dans la maison avec l'air froid pendant une longue période.
Drapeau de l'Irlande et de drapeaux ornent un pays comme le trèfle et brandissant une chiquenaude à Montréal, au Québec, une célébration de la vie pour beaucoup de jours consécutifs, ainsi que dans Dublin, Cork, Belfast, Dam-Orient. Perry Kilkenny, Galway, Limerick et Waterford dans le Ford. République d'Irlande
En fait, les costumes de St Patty déclenchement est bleu, mais vert est porté dans la célébration vient de l'état et l'un des drapeau de couleur de l'Irlande est le vert Shamrock senti à l'usure. J'aime porter vert. Avec une Shamrock sur le corps.
Shamrock (Shamrock) ou celtiques groupe (local traditionnel irlandais), connu comme le C. Roy (Seamroy) est un arbre sacré sur cette terre depuis l'ancienne Irlande. Il est un symbole de renaissance. Et le printemps. Dans le 17e siècle, le Shamrock est un symbole du nationalisme irlandais. Parce qu'il était l'occupation britannique. Ils ne parlent pas irlandais. La religion catholique est interdit.
Souvent, les gens porter du vert pour montrer la puissance de la nation. Et est devenu un jour saint, déclencheur de St Patty.
La musique unique de l'Irlande, il est important de ne pas porter du vert. Cela est indiscernable de la vie et la culture des Irlandais du tout. Pour cette raison, il est souvent dans la musique irlandaise, culture, religion, mythologie, histoire et histoire de la vie. Pour l'héritage à la postérité. Surtout après la domination britannique et ne parlent pas les langues locales. Les musiciens, qui se tournent vers la musique comme un outil dans la succession de son premier plateau. Ne vous laissez pas se perdre. C'est la façon de réussir est énorme. Aujourd'hui, le chanteur irlandais, musicien. Chanter dans les langues locales de renommée mondiale comme le point de passage Montagnes, La Clancy Brothers SF et O'Connell Nord, ou même une nouvelle version du cours j'ai ma insérer la langue irlandaise. album pop d'entre eux.
Recettes irlandaise pour fêter la fin de la matinée. Les Irlandais ont commencé d'hôtes ou un petit déjeuner qui comprend le sien. Pain maison et des pommes de terre par le studio de boire le thé ensemble. Mais si le temps est très froid. Elle se termine avec le whisky irlandais pour le petit déjeuner.
Menu du jour de St Patty sera déclenchée. B. Le Corning et la nourriture à base de chou-fleur. C'est le folklore traditionnel de la Première. La variété de chou-fleur que c'est ce que les Irlandais mangent chaque jour de toute façon. Korn B. Mais il est important supplément pour notre fête nationale, surtout parce que c'est le luxe. En raison de la survenance de tels «l'économie moderne», ils apportent de la viande est bon marché. Maïs B. remplace le bacon irlandais, qui est coûteux de faire des économies.
วันจันทร์ที่ 19 กันยายน พ.ศ. 2554
Val de Loire
Le Val de Loire, tel qu'il a été inscrit en 2000 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, désigne la partie de la vallée de la Loire située entre Sully-sur-Loire (dans le Loiret) et Chalonnes-sur-Loire (en Maine-et-Loire). Ce territoire regroupe les anciennes provinces d'Orléanais, de Touraine et d'Anjou. Il constitue un site exceptionnel pour sa diversité biologique ainsi que pour sa richesse historique et culturelle (parcs, châteaux et villes).
Survol rapide
Cette partie du fleuve traverse deux régions, le Centre et les Pays de la Loire, et quatre départements, le Loiret, le Loir-et-Cher, l’Indre-et-Loire et le Maine-et-Loire. Le fleuve, orienté après Sully-sur-Loire dans la direction ouest-nord-ouest, s’incurve à Orléans pour prendre la direction ouest-sud-ouest. Dans le Val de Loire, le fleuve reçoit de nombreux affluents, principalement du sud, les trois plus importants étant le Cher, l’Indre et la Vienne. Entre Orléans et Angers, la vallée est souvent bordée de petites falaises de tuffeau et de calcaire. De nombreux îlots et bancs de sable ou de gravier parsèment le cours du fleuve, dont la profondeur et la
largeur varient considérablement d’une saison à l’autre et d’une année à l’autre. Les crues de la Loire ont généralement lieu en hiver et, grâce à la présence de digues (levées) sur la plus grande partie de son cours, sont le plus souvent sans conséquences graves. La vallée a cependant connu dans son histoire des inondations importantes, parfois catastrophiques, en toutes saisons. Leur trace est conservée de place en place grâce à des indications de hauteur et d’année sur les digues ou les bâtiments. En descendant le cours du fleuve, on rencontre les villes d’Orléans, Blois, Amboise, Tours, Saumur et Angers (un peu à l’écart du fleuve, sur la Maine), mais également de nombreux bourgs et villages, ainsi que certains des châteaux de la Loire, notamment ceux de Sully-sur-Loire, Blois, Chaumont-sur-Loire, Amboise, Saumur, d’autres étant situés à l’écart du fleuve, souvent près d’un de ses affluents, comme Chambord près du Cosson, Chenonceau sur le Cher, Azay-le-Rideau sur l'Indre ou Chinon dans la vallée de la Vienne.
Histoire
Dès le paléolithique, les hommes se sont installés sur les berges de la Loire et des nombreuses rivières de la région. À partir de 10000 jusque vers 4000 av. J.-C., les populations originelles de chasseurs-cueilleurs se transformèrent progressivement en populations totalement sédentaires d’agriculteurs-éleveurs. Cette transformation fut la conséquence, à la fois de l'abandon du nomadisme par les populations locales, puis de l'arrivée de populations d'agriculteurs venues du Proche-Orient.
Les communautés se regroupèrent ensuite en sociétés structurées, pour aboutir à l'organisation territoriale des peuples gaulois autour de leurs cités. Au IVe siècle av. J.‑C., le pays des Carnutes, à l’emplacement de l’Orléanais actuel, était considéré comme le centre de la Gaule. C’est là que se tenait l’assemblée annuelle des druides. Bien avant la conquête romaine, les sites de toutes les villes importantes actuelles existaient déjà.
À l’exception des tentatives de soulèvement des Carnutes et des Andécaves, Jules César ne rencontra que peu de résistance dans la région lors de sa conquête. Les Gaulois adoptèrent rapidement le mode de vie romain, surtout dans les villes déjà existantes (Orléans, Tours, Angers), autour du forum, du théâtre et des thermes. La période gallo-romaine vit un développement important de la production et du commerce.
Le christianisme se développa à partir du IVe siècle sous l’impulsion des évêques de Tours, Orléans et Angers. Martin de Tours, un des pères de l’Église, évêque de 371 jusqu’à sa mort en 397, fut l’un des artisans les plus actifs de l’évangélisation. Des monastères furent fondés, comme ceux de Fleury (le futur Saint-Benoît) et de Marmoutier. Sous la dynastie carolingienne, deux proches de Charlemagne, Alcuin et Théodulphe, créèrent dans la région des écoles monastiques qui eurent une grande influence culturelle. Les invasions « barbares » n’épargnérent pas le Val de Loire : bien que les Sarrasins, repoussés au VIIIe siècle par Charles Martel, n’aient pu franchir la Loire, les Vikings, dès le milieu du IXe siècle, remontèrent le fleuve avec leurs drakkars et pillèrent les villes et les abbayes de la vallée.
Au Moyen Âge, le Val de Loire fut le théâtre de luttes quasiment continuelles du Xe au XVe siècle. Elles concernèrent d’abord la succession à la couronne d'Angleterre, puis la lutte entre Capétiens et Plantagenêts pour la possession du Royaume de France. Le dernier chapitre de ces luttes, la guerre de Cent Ans (1340-1453), fut marqué par les faits d’armes de Jeanne d’Arc, qui délivra notamment Orléans le 8 mai 1429, libération dont la ville commémore chaque anniversaire depuis l’an 1430, lors de ses Fêtes johanniques.
La Renaissance vit l’apogée du rôle du Val de Loire au sein du Royaume de France. De Louis XI, qui fit de Tours sa capitale en 1461, jusqu’à Henri IV qui la ramena à Paris en 1594, le centre du pouvoir demeura dans la région. Les Valois, qui avaient découvert en Italie une nouvelle esthétique et un nouvel art de vivre, n’ont eu de cesse de les transposer dans le Val de Loire, en y faisant venir de nombreux artistes et artisans italiens, dont le plus célèbre d’entre eux, Léonard de Vinci. Ainsi naquit ce qui fut appelé plus tard la première Renaissance française, au cours de laquelle furent rénovés les châteaux royaux d’Amboise et de Blois, puis construits des « châteaux de cour » destinés au plaisir, le plus remarquable étant celui de Chambord.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la région vit s’accroître son rôle d’axe de communication grâce à la création de canaux (de Briare et d’Orléans), ce qui constitua une période faste pour la marine de Loire. La Révolution n’entraîna pas de graves troubles dans la région et fut globalement bien acceptée, à l’exception notable de la rébellion des paysans des Mauges au sud de l’Anjou.
Au XIXe siècle, l’apparition du chemin de fer introduisit des changements radicaux dans le paysage ligérien, en faisant disparaître la navigation sur le fleuve, ainsi que l’activité des ports de Loire.
Les communautés se regroupèrent ensuite en sociétés structurées, pour aboutir à l'organisation territoriale des peuples gaulois autour de leurs cités. Au IVe siècle av. J.‑C., le pays des Carnutes, à l’emplacement de l’Orléanais actuel, était considéré comme le centre de la Gaule. C’est là que se tenait l’assemblée annuelle des druides. Bien avant la conquête romaine, les sites de toutes les villes importantes actuelles existaient déjà.
À l’exception des tentatives de soulèvement des Carnutes et des Andécaves, Jules César ne rencontra que peu de résistance dans la région lors de sa conquête. Les Gaulois adoptèrent rapidement le mode de vie romain, surtout dans les villes déjà existantes (Orléans, Tours, Angers), autour du forum, du théâtre et des thermes. La période gallo-romaine vit un développement important de la production et du commerce.
Le christianisme se développa à partir du IVe siècle sous l’impulsion des évêques de Tours, Orléans et Angers. Martin de Tours, un des pères de l’Église, évêque de 371 jusqu’à sa mort en 397, fut l’un des artisans les plus actifs de l’évangélisation. Des monastères furent fondés, comme ceux de Fleury (le futur Saint-Benoît) et de Marmoutier. Sous la dynastie carolingienne, deux proches de Charlemagne, Alcuin et Théodulphe, créèrent dans la région des écoles monastiques qui eurent une grande influence culturelle. Les invasions « barbares » n’épargnérent pas le Val de Loire : bien que les Sarrasins, repoussés au VIIIe siècle par Charles Martel, n’aient pu franchir la Loire, les Vikings, dès le milieu du IXe siècle, remontèrent le fleuve avec leurs drakkars et pillèrent les villes et les abbayes de la vallée.
Au Moyen Âge, le Val de Loire fut le théâtre de luttes quasiment continuelles du Xe au XVe siècle. Elles concernèrent d’abord la succession à la couronne d'Angleterre, puis la lutte entre Capétiens et Plantagenêts pour la possession du Royaume de France. Le dernier chapitre de ces luttes, la guerre de Cent Ans (1340-1453), fut marqué par les faits d’armes de Jeanne d’Arc, qui délivra notamment Orléans le 8 mai 1429, libération dont la ville commémore chaque anniversaire depuis l’an 1430, lors de ses Fêtes johanniques.
La Renaissance vit l’apogée du rôle du Val de Loire au sein du Royaume de France. De Louis XI, qui fit de Tours sa capitale en 1461, jusqu’à Henri IV qui la ramena à Paris en 1594, le centre du pouvoir demeura dans la région. Les Valois, qui avaient découvert en Italie une nouvelle esthétique et un nouvel art de vivre, n’ont eu de cesse de les transposer dans le Val de Loire, en y faisant venir de nombreux artistes et artisans italiens, dont le plus célèbre d’entre eux, Léonard de Vinci. Ainsi naquit ce qui fut appelé plus tard la première Renaissance française, au cours de laquelle furent rénovés les châteaux royaux d’Amboise et de Blois, puis construits des « châteaux de cour » destinés au plaisir, le plus remarquable étant celui de Chambord.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la région vit s’accroître son rôle d’axe de communication grâce à la création de canaux (de Briare et d’Orléans), ce qui constitua une période faste pour la marine de Loire. La Révolution n’entraîna pas de graves troubles dans la région et fut globalement bien acceptée, à l’exception notable de la rébellion des paysans des Mauges au sud de l’Anjou.
Au XIXe siècle, l’apparition du chemin de fer introduisit des changements radicaux dans le paysage ligérien, en faisant disparaître la navigation sur le fleuve, ainsi que l’activité des ports de Loire.
Les paysages du Val de Loire, caractérisés par la combinaison harmonieuse des eaux du fleuve et de la végétation de la forêt, ont depuis longtemps inspiré les artistes. Parmi leurs premières représentations littéraires, les poésies de Charles d’Orléans et les œuvres de François Rabelais sont les plus célèbres.
À l’époque de la Renaissance, ces paysages firent l’objet de représentations littéraires, picturales et jardinières qui les érigèrent en modèles esthétiques. Grâce à la rencontre dans le Val de Loire des cultures italienne, flamande et française, un modèle paysager jardiné vit le jour autour de la Loire. L’extension du jardin et de ses techniques de culture au territoire entre fleuve et forêt a trouvé son expression la plus forte en Touraine. Cette région, très tôt célébrée comme le « Jardin de la France », a souvent servi de modèle à l’ensemble du territoire national, dont l’aspect jardiné est considéré par beaucoup comme caractéristique de la France.
Les poètes de la Renaissance, comme Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay célèbrèrent les beautés des paysages, qu’ils jugeaient aussi remarquables, sinon plus, que ceux de la région de Rome, où séjourna Du Bellay. Après la Renaissance, les paysages ligériens continuèrent à être célébrés par de nombreux écrivains, comme Jean de la Fontaine ou la marquise de Sévigné au XVIIe siècle, et, au XIXe siècle, par Alfred de Vigny, Gustave Flaubert, Honoré de Balzac, Charles Baudelaire ou même Victor Hugo, dont la sensibilité romantique s’harmonisait au romantisme des paysages de Loire. les représentations picturales n’apparurent que plus tardivement. La Loire ne se laisse en effet pas représenter aisément. Selon René Bazin, cette difficulté provient des trop vastes dimensions de sa vallée, et de sa lumière « fine, voilée, que ne relève aucune ombre forte, aucun contraste ». Plutôt que de la montrer dans toute son ampleur, les peintres et graveurs ont largement représenté ses ponts, ses quais et les « fronts de Loire » de ses villages et de ses villes. L’une des plus remarquables séries de tableaux sur le Val de Loire est sans conteste celle réalisée par le peintre anglais Joseph Mallord William Turner lors de son voyage entre Nantes et Orléans en 1826, qui a su inventer des points de vue originaux et utiliser les transparences de l’aquarelle pour suggérer la finesse de la lumière.
À l’époque de la Renaissance, ces paysages firent l’objet de représentations littéraires, picturales et jardinières qui les érigèrent en modèles esthétiques. Grâce à la rencontre dans le Val de Loire des cultures italienne, flamande et française, un modèle paysager jardiné vit le jour autour de la Loire. L’extension du jardin et de ses techniques de culture au territoire entre fleuve et forêt a trouvé son expression la plus forte en Touraine. Cette région, très tôt célébrée comme le « Jardin de la France », a souvent servi de modèle à l’ensemble du territoire national, dont l’aspect jardiné est considéré par beaucoup comme caractéristique de la France.
Les poètes de la Renaissance, comme Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay célèbrèrent les beautés des paysages, qu’ils jugeaient aussi remarquables, sinon plus, que ceux de la région de Rome, où séjourna Du Bellay. Après la Renaissance, les paysages ligériens continuèrent à être célébrés par de nombreux écrivains, comme Jean de la Fontaine ou la marquise de Sévigné au XVIIe siècle, et, au XIXe siècle, par Alfred de Vigny, Gustave Flaubert, Honoré de Balzac, Charles Baudelaire ou même Victor Hugo, dont la sensibilité romantique s’harmonisait au romantisme des paysages de Loire. les représentations picturales n’apparurent que plus tardivement. La Loire ne se laisse en effet pas représenter aisément. Selon René Bazin, cette difficulté provient des trop vastes dimensions de sa vallée, et de sa lumière « fine, voilée, que ne relève aucune ombre forte, aucun contraste ». Plutôt que de la montrer dans toute son ampleur, les peintres et graveurs ont largement représenté ses ponts, ses quais et les « fronts de Loire » de ses villages et de ses villes. L’une des plus remarquables séries de tableaux sur le Val de Loire est sans conteste celle réalisée par le peintre anglais Joseph Mallord William Turner lors de son voyage entre Nantes et Orléans en 1826, qui a su inventer des points de vue originaux et utiliser les transparences de l’aquarelle pour suggérer la finesse de la lumière.
La vigne et le vin, déjà présents dans la région à l’époque gallo-romaine, représentent un véritable modèle historique et culturel, et sont partie intégrante de la culture du « bien vivre » qui s’est développée dans le Val de Loire. Comme pratiquement tous les vignobles du monde, les vignobles de la Loire eurent à souffrir de la crise du phylloxéra, qui les détruisit en grande partie à la fin du XIXe siècle. Depuis, tous les pieds de vigne sont des pieds américains, résistants au phylloxéra et sur lesquels ont été greffés les anciens cépages.On trouve dans le Val de Loire divers terroirs qui, par la nature des sols, des reliefs et des orientations, produisent des vins qui, bien qu’issus des mêmes cépages, sont d’une grande variété, mais ont cependant en commun une personnalité marquée par la fraîcheur, la vivacité et l’élégance. Ils sont connus sous leur « Appellation d’origine contrôlée » (AOC), qui les distingue par l’association unique d’un territoire, d’un ou de plusieurs cépages et d’un savoir-faire.Les vignobles les plus importants de la région sont ceux d’Anjou, de Saumur, de l'Orléanais et de Touraine. Parmi les cépages dont sont issus les vins du Val de Loire, les plus fréquemment cultivés sont le Chenin, le Cabernet et le Gamay en Anjou, Saumur et Touraine, ainsi que le Sauvignon et le Pinot noir en Touraine. Les vins d’Anjou, de Saumur, de l'Orléanais et de Touraine regroupent 51 appellations, de vins blancs, rosés et rouges, pour certains (rosés et surtout blancs) effervescents.
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