วันจันทร์ที่ 18 เมษายน พ.ศ. 2554

Mangoustanier


Le mangoustanier (Garcinia mangostana) est une espèce d'arbres du genre Garcinia, famille des Clusiaceae.

Il existe d'autres espèces de mangoustanier qui fournissent des fruits comestibles, les mangoustans. Ils sont originaires d'Asie du Sud-Est Java, Bornéo, Sri-Lanka, Thaïlande, Colombie, pays dans lesquels les mangoustans se trouvent sur les marchés.

Le mangoustan (aussi appelé la mangouste) est un fruit arrondi violacé de la taille d'une balle de golf à la peau épaisse (très amère), appelé péricarpe, renfermant une chair blanche divisée en 5 à 6 quartiers. Le goût fin est un mélange d'acidité et de sucré. Les mangoustans sont des fruits très appréciés en Asie et en Afrique centrale pour leurs propriétés curatives.

Le mangoustan est un des fruits les plus riches en antioxydants naturels, dont au moins 40 xanthones. C'est dans le péricarpe du fruit que ceux-ci sont concentrés.

Noms communs
arbre : mangostan, mangostanier, mangoustan, mangoustanier, mangoustier, mangostier.
fruit : mangoustan, mangouste, fruit des rois.

Voir aussi
Baie de Goji

Banane


La banane est le fruit, ou baie dérivant de l’inflorescence du bananier. Les bananes sont les fruits climactériques très généralement stériles issus de variétés domestiquées. Les fruits des bananiers sauvages possèdent des graines et sont généralement jaunes lorsqu'elles sont mûres.

Les bananes constituent un élément essentiel du régime alimentaire de certains pays développés et constituent une nourriture de base pour des millions de personnes sous les tropiques.

Le mot « banane » est dérivé du portugais, lui-même probablement emprunté au bantou de Guinée ou à l’arabe « banan » (بنان) (qui signifie « doigts »), dans l’expression en portugais rapportée en 1602 « Figuera Banana » (« figuier portant bananes »). Elle est appelée « figue » en créole à la Réunion et aux Antilles.

HistoireLes bananes trouvent leur origine dans une zone qui va de l'Inde au sud de la Chine via la Birmanie, de Taïwan jusqu'au nord de l'Australie et la Polynésie via les Philippines, l'Indonésie et la Nouvelle-Guinée. On retrouve encore dans ces régions des bananiers sauvages riches en graines et pauvres en pulpe dans les milieux ouverts (clairières, lisières des forêts). Des traces de production bananière pour une consommation humaine ont été trouvées en Malaisie et en Nouvelle-Guinée, et datent d'il y a à peu près sept mille ans.

Les plantations de bananes commerciales sont devenues un des symboles de la colonisation : une monoculture imposée pour répondre aux besoins des consommateurs de métropole. Au XIXe siècle, la United Fruit Company investit l'Amérique centrale, utilisant sa puissance économique avec la menace de l'appui militaire des États-Unis pour transformer les fragiles démocraties en républiques bananières. Strictement parlant, ces pays producteurs n'étaient pas des colonies, mais l'influence de la United Fruit Company, initialement au Costa Rica et bientôt dans pratiquement toute l'Amérique centrale, a donné naissance à l'expression « république bananière » pour désigner l'immense pouvoir « néocolonial » qu'exerçait la compagnie fruitière américaine. En 1911 par exemple, lors d'un soulèvement populaire contre le gouvernement du Honduras, la raison officielle donnée pour l'intervention de l'armée américaine était la protection des « travailleurs américains » de la United Fruit Company, qui avait fait de ce pays son principal fournisseur de bananes.

Les exportations (essentiellement la variété « Gros Michel ») au début du XXe siècle sont assurées par les navires à vapeur produisant du froid dans les cales. Le mode de transport par navire reefer s'impose dans les années 1950 alors que la demande des marchés développés s'accroît au nord. Les années 1970 à 1990 voient les armateurs accumuler d'importantes capacités de transport en ligne pour s'adapter au mieux à la massification et à la conteneurisation des exportations bananières en défiant la concurrence. Le mode de transport de transport bascule dans les années 1990 du navire reefer vers le conteneur à 55 %.

BotaniqueDescriptionLa banane est un long fruit légèrement incurvé, souvent regroupé sur le bananier en grappes nommées « régimes ». La banane possède une peau de couleur jaune ou verte facile à détacher. La partie intérieure est une pulpe amylacée au goût sucré et à la consistance généralement fondante. Sur le plan botanique, la banane sauvage diploïde (2 × 11 chromosomes) est une baie polycarpique, c’est-à dire contenant de nombreux pépins anguleux durs. Cependant les variétés commerciales triploïdes (3 × 11 chromosomes) produisent des baies parthénocarpiques formées sans fécondation, qui ne contiennent donc pas de graines (si on fend cette « banane domestique » dans le sens de la longueur, on observe une série longitudinale de taches noires qui sont des ovules non fécondés).

Les bananes mûres sont riches en potassium et en sucres. Elles sont très nourrissantes (90 kcal/100 g) et très digestes en raison de leur faible teneur en graisses. C’est la raison pour laquelle elles sont le plus souvent consommées crues. Les bananes sont cueillies vertes dans les plantations, aussi appelées bananeraies. Moins fragiles que les bananes mûres, elles supportent mieux le transport. Elles sont immédiatement acheminées vers les centres de distribution (marchés d’exportation), où le processus de maturation est parfois activé en ajoutant aux fruits de l’éthylène (fruit climactérique). En conditions naturelles, cet hydrocarbure est fabriqué par la plante elle-même.

L’arôme principal de banane est l’acétate d’isoamyle.

Sélection au cours des siècles
Les bananes consommées de nos jours appartiennent toutes au genre Musa, au sein duquel on distingue quatre sections : Rhodochlamys, Callimusa, Eumusa et Australimusa. Les deux premières contiennent essentiellement des variétés ornementales. La section Australimusa contient un certain nombre d’espèces sauvages, parfois cultivées pour leurs fibres (Musa textilis), et des variétés cultivées pour leurs fruits, les Fe’is, présents uniquement dans le Pacifique. La section Eumusa est quant à elle à l’origine de la majorité des bananiers cultivés pour leurs fruits dans le monde. On y retrouve des variétés sauvages, diploïdes et fertiles, des variétés ancestrales, également diploïdes mais assez fortement stériles pour que leurs fruits soient consommables (absence de graines dans les fruits), et de nombreuses variétés cultivées, triploïdes et stériles.

Origine
Une hypothèse récente est que la domestication des bananes Eumusa se soit produite il y a environ 10 000 ans, dans les hautes terres de Nouvelle-Guinée. La variété Musa acuminata banksii, à l’origine de la plupart de celles qui sont cultivées aujourd’hui, y serait née et se serait ensuite répandue en Asie du Sud-Est où elle se serait hybridée avec les variétés locales. Les formes sauvages Musa acuminata et Musa balbisiana, se rencontrent encore aujourd’hui dans une grande partie du Sud Est Asiatique, de l’Inde à la Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Sélection
La sélection par l’homme a permis au fil des siècles de créer les variétés consommées de nos jours. Plusieurs équipes de recherche développent actuellement des programmes d’amélioration variétale du bananier à travers le monde, comme l'Université catholique de Louvain (Belgique), le Cirad aux Antilles françaises, l’Embrapa au Brésil, la FHIA au Honduras, le CARBAP au Cameroun et de nombreux autres organismes en Inde, au Viêt Nam, en Afrique… Selon les écoles, les stratégies d’amélioration sont variées, mais reposent toutes plus ou moins sur des biotechnologies modernes. Elles permettent de créer de nouvelles variétés plus résistantes aux parasites et ravageurs de cette culture. La recherche internationale sur le Bananier est fédérée par l’INIBAP, une organisation internationale membre du CGIAR. L’INIBAP gère entre autres une banque de gènes du bananier, stockée in vitro à Louvain (Belgique) ainsi qu’une base de données sur les ressources génétiques du bananier appelée Musa Germplasm Information System (MGIS). Le système d’information sur les ressources génétiques de Musa contient une information détaillée et standardisée sur les accessions détenues par de nombreuses banques de gènes autour du monde.

วันจันทร์ที่ 11 เมษายน พ.ศ. 2554

Burkina Ko grande.

Ancien temple romain. Château dominent la ville dans le passé, vous êtes assez toit dominant car il chatoyante lorsque le soleil. Et le charmant petit village. Avec tous ces grands golf Faso est une terre de patrimoine historique de gauche à tenir à l'écart profusion
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Cyclisme vues.
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Crème glacée à la fraise Berry saveur.


Ingrédient
1. Strawberry Berry 450 grammes.
2. Lait 1000 ml
3. crème à fouetter 400 ml
4. 360 g de sucre.
Comment faire
1. Réglage de la mauvaise lait, le sucre de sucre dissous.
2. Pour refroidir avant d'ajouter la crème fouettée.
3. Spinning fraise avec le mélange de baies légèrement. Revenez ensuite mélangé avec le reste des ingrédients. Mettez pot de crème glacée.
4. Spinning filature filature jusqu'au moment.
5. Servir avec des baies de fraises fraîches goût aigre douce. MM-JJ-garde exprimer différents DJs.

วันอาทิตย์ที่ 10 เมษายน พ.ศ. 2554

Coconut


The coconut palm, Cocos nucifera, is a member of the family Arecaceae (palm family). It is the only accepted species in the genus Cocos. The term coconut can refer to the entire coconut palm, the seed, or the fruit, which is not a botanical nut. The spelling cocoanut is an old-fashioned form of the word.

Found across much of the tropics, the coconut is known for its great versatility as seen in the many domestic, commercial, and industrial uses of its different parts. Coconuts are part of the daily diet of many people. Its endosperm is known as the edible "meat" of the coconut; when dried it is called copra. The oil and milk derived from it are commonly used in cooking and frying; coconut oil is also widely used in soaps and cosmetics. The clear liquid coconut water within is a refreshing drink and can be processed to create alcohol. The husks and leaves can be used as material to make a variety of products for furnishing and decorating. It also has cultural and religious significance in many societies that use it.

Description

PlantCocos nucifera is a large palm, growing up to 30 metres (98 ft) tall, with pinnate leaves 4–6 metres (13–20 ft) long, and pinnae 60–90 cm long; old leaves break away cleanly, leaving the trunk smooth. On very fertile land a tall coconut palm tree can yield up to 75 fruits per year, but more often yields less than 30 mainly due to poor cultural practices.

FruitBotanically the coconut fruit is a drupe, not a true nut. Like other fruits it has three layers: exocarp, mesocarp, and endocarp. The exocarp and mesocarp make up the husk of the coconut. Coconuts sold in the shops of non-tropical countries often have had the exocarp (outermost layer) removed. The mesocarp or "shell" thus exposed is the hardest part of the coconut, and is composed of fibers called coir which have many traditional and commercial uses. The shell has three germination pores (stoma) or eyes that are clearly visible on its outside surface once the husk is removed.

A full-sized coconut weighs about 1.44 kg. It takes around 6000 full-grown coconuts to produce a tonne of copra.

SeedWithin the shell is a single seed. When the seed germinates, the root (radicle) of its embryo pushes out through one of the eyes of the shell. The outermost layer of the seed, the testa, adheres to the inside of the shell. In a mature coconut, a thick albuminous endosperm adheres to the inside of the testa. This endosperm or meat is the white and fleshy edible part of the coconut. Coconuts sold with a small portion of the husk cut away are immature, and contain coconut water rather than meat.

Although coconut meat contains less fat than many oilseeds and nuts such as almonds, it is noted for its high amount of medium-chain saturated fat. About 90% of the fat found in coconut meat is saturated, a proportion exceeding that of foods such as lard, butter, and tallow. There has been some debate as to whether or not the saturated fat in coconuts is less unhealthy than other forms of saturated fat (see coconut oil). Like most nut meats, coconut meat contains less sugar and more protein than popular fruits such as bananas, apples and oranges. It is relatively high in minerals such as iron, phosphorus and zinc.

The endosperm surrounds a hollow interior space, filled with air and often a liquid referred to as coconut water (distinct from coconut milk). Young coconuts used for coconut water are called tender coconuts: when the coconut is still green, the endosperm inside is thin and tender, and is often eaten as a snack, but the main reason to pick the fruit at this stage is to drink its water. The water of a tender coconut is liquid endosperm. It is sweet (mild) with an aerated feel when cut fresh. Depending on its size a tender contains 300 to 1,000 ml of coconut water.

The meat in a young coconut is softer and more gelatinous than a mature coconut, so much so, that it is sometimes known as coconut jelly. When the coconut has ripened and the outer husk has turned brown, a few months later, it will fall from the palm of its own accord. At that time the endosperm has thickened and hardened, while the coconut water has become somewhat bitter.

When the coconut fruit is still green, the husk is very hard, but green coconuts only fall if they have been attacked by molds, etc. By the time the coconut naturally falls, the husk has become brown, the coir has become drier and softer, and the coconut is less likely to cause damage when it drops, although there have been instances of coconuts falling from palms and injuring people, and claims of some fatalities. This was the subject of a paper published in 1984 that won the Ig Nobel Prize in 2001. Falling coconut deaths are often used as a comparison to shark attacks; the claim is often made that a person is more likely to be killed by a falling coconut than by a shark, yet, there is no evidence of people ever being killed in this manner.

When viewed on end, the endocarp and germination pores give the fruit the appearance of a coco (also Côca), a Portuguese word for a scary witch from Portuguese folklore, that used to be represented as a carved vegetable lantern, hence the name of the fruit.[9] The specific name nucifera is Latin for nut-bearing.

A small number of writings about coconut mention the existence of the coconut pearl. This is generally considered a hoax. Professor Armstrong, of Palomar College, says "most eyewitness records of coconut pearls cited in the literature are secondhand accounts that were not observed by the authors of these articles. There are a few firsthand, published accounts of pearls observed inside coconuts, but these have been shown to be fraudulent."

Palais de Versailles.


Palais de Versailles. Palais Royal est l'un de la France Situé à Versailles de la ville. Qui fait maintenant partie de la métropole parisienne. Château de Versailles est un palais de grand et de beau dans le monde. Et est l'une des sept merveilles du monde d'aujourd'hui avec les ex-ville de Versailles est une petite ville, l'un des Les gens vivent à la légère La plupart des forêts. Comme d'autres zones rurales de la France, le seigneur Louis, 13 à Sa Majesté le Roi Yao. Bien que l'âge de 23 ans, il frappe son certificat de naissance, de la chasse dans les bois. Et il vit que probable que le district de Versailles pour être adapté à la chasse aux phoques. Considérant qu'il. Pour mettre en place dans la Loi sur Palace 2167, d'abord comme une petite cabane. Pour un séjour temporaire sur le Seigneur Louis, 14 ans, la succession au trône de France. Un désir de construire un nouveau palais. Pour être au centre de ses parents. Pour commencer à mettre à jour l'ancien palais de l'année 2204 les dépenses totales 500 000 000 francs et 30 000 travailleurs prendre jusqu'à 30 ans pour terminer en Novembre. Ven. 2231 toutes les pièces de marbre blanc. L'art est un beau modèle au sein de la salle est divisée en chambres tels que la salle a mangé Banthom salle de croisières, etc Toutes les chambres sont des peintures bijoux spectaculaires et belles célèbre. Construction du palais de Versailles, ce fut l'argent vient du peuple de l'impôt français. Actuellement, le château de Versailles est toujours en bon état et ouverts à la visite du public.

Dans le bureau de billet réservation.

Kannika : Je voudrais un billet pour aller à Chiang Maï.
Un agent TG : Aller simple ou aller-retour ?
Kannika : Aller simple, s’il vous plait.
Un agent TG : Lequel de vol prenez-vous ? Il y a un de demain, midi, et après-midi.
Kannika : Je choisis le vol après-midi.
Un agent TG : Pour combien de personnes ?
Kannika : Pour moi.
Un agent TG : Épelez votre nom, s’il vous plaît
Kannika : W-o-n-g-s-a K-a-n-n-i-k-a. Combien de billet ?
Un agent TG : 2000 Bahts. Vous désirez payer en espèces ou une

carte de crédit ? Kannika : une carte de crédit. Voilà. Un agent TG : (Donner la facture de carte de crédit) Signez ici, s’il vous plait. Kannika : D’accord. Voilà.
Un agent TG : Merci beaucoup.
Kannika : Merci, au revoir

Avant du bureau de Thai Airways.

Chitipat : Bonjour, Allez-vous comment ?
Kannika : Bonjour Lek, je suis bien. Et vous ?
Chitipat : Très bien. Ou allez-vous ?
Kannika : Je vais ici pour réserver un billet à Chiang Maï.
Chitipat : Quand ?
Kannika : Demain.
Chitipat : Bien, c’est possible si vous me ramenez la dictionnaire

française à la librairie de Dongkamol.
Kannika : Oui. Laquelle ?
Chitipat : Collins Robert.
Kannika : D’accord. Je dois entrer dans le bureau.
Chitipat : Alors, A tout à l’heure.
Kanika : A tout à l’heure.

Jacques Anquetil

Jacques Anquetil est un coureur cycliste français, né à Mont-Saint-Aignan (Seine-Inférieure, aujourd'hui Seine-Maritime) le 8 janvier 1934 et mort d'un cancer de l'estomac le 18 novembre 1987 à La Neuville-Chant-d'Oisel (Seine-Maritime). Surnommé « Maître Jacques », il est notamment le premier quintuple vainqueur du Tour de France, et l'auteur du doublé Dauphiné libéré-Bordeaux-Paris en 1965. Il a également remporté cinq Paris-Nice et construit ses nombreux succès dans les courses par étapes, grâce à ses qualités de rouleur lors des contre-la-montre. Il détient seul le record de podiums dans les trois grands Tours : 13.

Les débuts

Anquetil vit son enfance à Mont-Saint-Aignan, sur les hauteurs de Rouen, en Normandie, au nord-ouest de la France. Il y vit avec ses parents, Ernest (maître-maçon) et Marie, et son frère Philippe. Puis la famille s'installe à Bois-Guillaume dans une maison de deux étages, « l'une de ces maisons aux poutres apparentes que les touristes trouvent jolies et ceux qui les habitent inconfortables ».

En 1941, son père refuse de participer pour l'occupant aux ouvrages de défense du mur de l'Atlantique. La famille choisit alors de se rendre au hameau de Bourguet, près de Quincampoix. Puisque son père n'a plus de travail, Anquetil fait comme ses sœurs et beau-frère restés à Bois-Guillaume : il se reconvertit dans la culture des fraises. Il reçoit son premier vélo - un Alcyon - à l'âge de quatre ans et, deux fois par jour, il parcourt un kilomètre et demi pour se rendre au village et revenir.

Il apprend le métier d’ajusteur-fraiseur au collège technique de Sotteville-lès-Rouen, où il joue de nombreuses parties de billard avec Maurice Dieulois. Son ami rejoint le club de cyclisme de Sotteville. Anquetil y accompagne son ami, assiste aux épreuves, au besoin le félicite. Dieulois devient un garçon dont la renommée locale séduit les filles. Jacques, d'abord peu intéressé par le sport, est peu à peu fasciné par son ami, qui découpe les premiers articles que lui consacrent les journaux locaux et collecte ses primes de victoire.

Poussé par son ami, il signe le 2 décembre 1950 sa première licence amateur à l'AC Sottevillais. Il passe un test concluant avec André Boucher, qui s'occupe des jeunes d'un club où l'on retrouve parmi les dirigeants le père de Dieulois. Après un CAP d’ajusteur-fraiseur, il pense se destiner à seconder son père, horticulteur spécialisé dans la culture des fraises. Finalement, il décide de se consacrer exclusivement au vélo et démissionne de son travail de tourneur.

Il participe au Grand Prix de Gai-Sport, sa première course officielle, le 8 avril 1951. C'est son coéquipier et ami Maurice Dieulois qui s'impose. Après une quatrième puis une troisième place lors des deux courses suivantes, il remporte le Prix Maurice Latour le 3 mai 1951 à Rouen (1re victoire). Par la suite, il gagne à deux reprises, chaque fois en solitaire. Il vise le Maillot des Jeunes de Paris-Normandie, qui récompense le meilleur débutant de la région. La finale du trophée se court à Pont-Audemer. Il s'agit d'un contre-la-montre de 85,6 kilomètres, qui regroupe les 14 premiers du classement provisoire. Anquetil part dernier et Dieulois avant-dernier, puisqu'ils occupent les deux premières places après les courses en ligne. Très vite, Anquetil, parti quatre minutes après Dieulois, a son ami en point de mire :
« Je ruinais peut-être à cet instant-là tous ses espoirs. Je ne veux pas paraître plus sentimental que je ne le suis, mais je le dis parce que c'est vrai, j'ai ralenti pendant une dizaine de kilomètres pour ne pas le dépasser trop vite. Enfin comme le temps passait, j'ai dû me décider à le doubler. Je le fis comme une flèche, sans un regard, pour abréger la chose ».

Il enfile donc le Maillot des Jeunes 1951[3] et remporte dans la foulée le titre de Champions Normandie des sociétés, avec Dieulois, Le Ber, Levasseur et Quinet.

Il signe à cette époque 16 victoires chez les amateurs, dont le Prix de France en 1952 ainsi que le Tour de la Manche et le Championnat de France amateur sur route la même année.

Sa carrière professionnelle

En 1953, Jacques Anquetil passe professionnel dans l'équipe « La Perle » de Francis Pélissier. Il y remporte la même année sa première course importante, le Grand prix des Nations, en approchant de 30 secondes le record de l'épreuve, détenu par le Suisse Hugo Koblet. Jusqu'au crépuscule de sa carrière chez Bic en 1969, il totalise 184 victoires, excellant aussi bien dans les courses par étapes, les contre-la-montre ou sur la piste. Seules les courses d'un jour lui sont moins favorables, malgré quelques exploits. Anquetil estimant que les classiques, et en particulier Paris-Roubaix où il crève à 12 km du but en 1958, ne sont que de la loterie.

Durant 16 ans au plus haut niveau, il est l'adversaire des plus grands champions, de Fausto Coppi à Eddy Merckx en passant par Louison Bobet, Raymond Poulidor ou Felice Gimondi. Malgré l'hostilité d'une partie du public français lassé de sa domination, ses supporters sont très nombreux. Il se fait entendre notamment lors des rencontres avec Poulidor : la tension est telle qu'il en sort une véritable doctrine : l'Anquetilisme par opposition au poulidorisme (plus humble, plus proche du peuple). Outre le duel du Puy de Dôme lors du Tour de France 1964, le sommet de leur rivalité est atteint à Paris-Nice en 1966 lors de la dernière étape : Poulidor, maillot blanc de leader, est littéralement harcelé par les lieutenants d'Anquetil dans l'arrière-pays niçois. Jean-Claude Wuillemin "poussant" même Barry Hoban, coéquipier du limousin, dans le fossé. Maître Jacques finalement gagne la course, après avoir lâché Poulidor dans la dernière côte. Il faudra attendre la fin de carrière d'Anquetil, pour que les deux hommes se réconcilient, et deviennent par la suite amis.

Parmi ses plus grands succès, on peut citer 5 Tours de France : en 1957 pour sa première participation à 23 ans, puis de 1961 à 1964 sans discontinuer. Il gagne au total 16 étapes, porte le maillot jaune 51 jours et obtient aussi une 3ème place en 1959 derrière Federico Bahamontès et devant Roger Rivière. Il fait ses adieux au Tour en 1966 sur un abandon, lors de la 19ème étape entre Chamonix et Saint-Etienne. Par ailleurs, il triomphe dans les deux autres Grands Tours : en 1960 et 1964 sur le Tour d'Italie, et en 1963 sur le Tour d'Espagne. Il gagne aussi neuf Grands Prix des Nations, un record qui ne sera plus jamais battu du fait de l'annulation de la course en 2005, 5 Paris-Nice (1957, 1961, 1963, 1965-66), 4 Critèrium National (1961, 63, 65, 67), 2 Dauphiné Libéré (1963-1965), Gand-Wevelgem, sa première classique belge en 1964, Bordeaux-Paris en 1965, réussissant ainsi le doublé quelques heures après sa victoire dans le Dauphiné, Liège-Bastogne-Liège en solitaire en 1966 et le Tour de Catalogne en 1968. Néanmoins, il ne parvient pas à conquérir le titre de champion du monde sur route, battu au sprint par Rudi Altig en 1966 sur la piste du Nurburgring en Allemagne. Le titre de champion de France professionnel manque également à son palmarès.

Sur la piste, il détient deux records de l' heure : en 1956 au Vigorelli de Milan, il fait tomber avec 46,159 km/h, le vieux record de Fausto Coppi datant de 1942 ; en 1967 il bat celui de Roger Rivière avec 47,493 km/h. Mais ce record n'est pas homologué, car Jacques Anquetil refuse de satisfaire au contrôle antidopage. Enfin, il est également vice-champion du monde de poursuite en 1956.

Fait chevalier de la Légion d'honneur des mains du Général de Gaulle en 1966, il tire sa révérence en Belgique, sur le vélodrome d'Anvers, le 27 décembre 1969.

Anecdotes et exploits

En 1961, Anquetil annonce son défi de porter le maillot jaune de la première à la dernière étape. Exploit qu'il réalise, s'attirant d'ailleurs les foudres du directeur de la course qui lui reproche vivement de « tuer le Tour », mais attise également la colère des spectateurs qui l'accueillent à l'arrivée de la dernière étape au Parc des Princes par des sifflets. Évènement dont il tirera une certaine ironie, puisque quelques années plus tard, il baptisera son bateau « Sifflets ».

Dans le Tour de France 1963, lors de la 17ème étape alpestre Val d'Isère-Chamonix, Jacques Anquetil change de monture (jugée trop lourde) avant d'aborder les difficiles pentes de la Forclaz. Le réglement interdit pourtant de changer de vélo, sauf en cas d'incident mécanique. Son directeur sportif Raphael Geminiani, accourt à ses côtés et feint de constater le problème que rencontre son coureur. En fait, il en profite pour sectionner le câble du dérailleur et trompe ainsi la vigilance du commissaire de course. Anquetil repart avec un vélo plus léger dans le col, suit Bahamontès mais surtout lâche Poulidor. Dans la descente pour aller plus vite, Maître Jacques reprend sa première monture qui entre temps a été réparée, et bat l'Espagnol au sprint à Chamonix. Anquetil remporte sa première grande étape de montagne dans le Tour, mais surtout, fait un grand pas vers une 4ème victoire sur la Grande Boucle.

En 1964, la France est coupée en deux dans le Tour de France, entre pro-Anquetil et pro-Poulidor. Les deux hommes se livrent un duel homérique sur les pentes du Puy de Dôme. Anquetil est lâché par Poulidor mais, pour 14 secondes, conserve son maillot jaune. Anquetil gagne à Paris son 5e et dernier Tour de France avec 55 secondes d'avance sur Poulidor.

En 1965, sur une idée de Raphaël Géminiani, il remporte à la fois le critérium du Dauphiné libéré, course de montagne par étapes, et Bordeaux-Paris. L'exploit réside dans le fait que les deux courses ne sont séparées que de 7 heures, la première finissant à 17 heures et la deuxième partant à minuit. À son arrivée au Parc des Princes, il reçoit une telle ovation de la part du public, que certains l'ont vu verser quelques larmes.

La même année, alors que le fossé se creuse entre les deux champions, Raymond Poulidor accepte de mettre ses ambitions de côté et de travailler au succès d'Anquetil au championnat du monde à Lasarte près de Saint-Sébastien. Marcel Bidot, patron de l'équipe de France, accourt auprès du quintuple vainqueur du Tour pour lui annoncer la bonne nouvelle. Anquetil, sans ménagement pour son historique rival répond : "il est encore plus con que je le pensais".

En 9 participations au Grand Prix des Nations de 1953 à 1966, il n'est jamais battu. Ses adversaires défaits sont notamment, Hugo Koblet lors de sa première victoire en 1953 (il n'a alors que 19 ans) mais aussi Felice Gimondi et Eddy Merckx respectivement deuxième et troisième de l'édition 1966.

En 1966, au Tour de Sardaigne, il déguste à chaque étape les spécialités locales. Jacques Anquetil remporte néanmoins cette course, après cette tournée gastronomique qui va à l'encontre de la diététique sportive traditionnelle.

En 1967, alors que plus personne ne croit en lui, il se lance un nouveau défi, celui de battre le record de l'heure détenu jusque là par Roger Rivière. Malgré des tentatives décevantes à l'entraînement qui lui valent quelques critiques dans la presse, Jacques Anquetil réussit l'exploit de faire tomber le chrono de son compatriote en portant le record à 47,493 km/h. Sa performance n'est cependant pas homologuée, car il refuse de passer au contrôle anti-dopage. Jacques Anquetil a cette réponse : « je m'en fous que le record ne soit pas homologué, je l'ai battu un point c'est tout ».

Jacques Anquetil est le premier coureur de l'histoire à remporter à 5 reprises le Tour de France. Il est également le premier coureur français à avoir gagné le Tour d'Italie (en 1960) et avoir réalisé le doublé Giro-Tour en 1964.

Ses différentes équipes

Anquetil porta successivement les couleurs de « La Perle » (1953-1955) (directeur sportif : Francis Pélissier), « Helyett » (1956-1958), « ACBB Leroux » (1959-1960), « Saint-Raphaël » (1961-1964), « Ford-Gitane » (1965-1966), équipe française avec laquelle il remporte la Coupe du Monde Intermarques en 1965 et « Bic » (1967-1969). Son premier entraîneur, dès sa licence à Sotteville, fut André Boucher (dit papa Boucher ) auprès duquel il revenait souvent prendre conseils et forces avant de grandes compétitions, du type « contre-la-montre ».

L'après carrière

À son retrait de la compétition, il fut correspondant du journal L'Équipe, consultant sur Europe 1 puis sur Antenne 2, directeur de course (Paris-Nice et Tour Méditerranéen), directeur sportif de l'équipe de France (aux Championnats du monde), membre du comité directeur de la FFC, reporter à la télévision et gentleman farmer du « Domaine des Elfes » (deux kilomètres carrés de terres à La Neuville-Chant-d'Oisel à 17 kilomètres de Rouen).

Après avoir raccroché à l'âge de 35 ans, il ne remontera qu'à trois reprises sur un vélo, jugeant avoir "trop dégusté sur cet engin". Une fois pour participer à une course "people" à Nice, le Grand Prix des Gentlemen, une seconde fois à l'occasion d'une sortie un après-midi avec des amis en Normandie et la dernière fois à l'occasion d'un anniversaire de sa fille.

Jacques Anquetil a plusieurs fois été soupçonné de dopage. Dans Miroir du Cyclisme d'octobre 1992, il indiquait au journaliste Je préfère me faire une piqûre de caféine que de boire trois tasses de café qui, elles, me font mal au foie.... Dans le livre La Face cachée de L'Équipe de David Garcia, le journaliste rapporte que le champion avait dit, Je me dope parce que tout le monde se dope (...). Bien souvent, je me suis fais des piqûres et si, maintenant, on veut m'accuser de me doper, ce n'est pas bien difficile, il suffit de regarder mes fesses et mes cuisses, ce sont de véritables écumoires.

Vie privée

Il épousa le 2 décembre 1958 Janine, qui avait deux enfants d'un premier mariage : Annie et Alain. Il eut une fille Sophie (1970) avec sa belle-fille Annie. Un autre enfant, Christopher, dont la mère était l'ex-femme de son beau-fils, verra le jour en 1986.

Palmarès

Super Prestige Pernod en 1961, 1963, 1965, et 1966 (3e : 1964)
Prestige Pernod : 1961, 1963, 1965
Challenge de France des organisateurs : 1965
Challenge Yellow (Sédis) : 1957, 1965
Trophée Edmond Gentil : 1953, 1960, 1963
Coupe Deutsch de la Meurthe : 1964
Tour de France : Huit participations dont les 5 victoires de 1957 (son premier tour disputé), 1961 (maillot jaune de bout en bout), 1962, 1963 et 1964 ; son équipe St-Raphaël remporte le classement en 1962 et 1963 ; L'équipe de France le remporte en 1957, 1960 et 1961) (51 jours en jaune ; 2e du classement par points : 1963 (3e : 1959)
16 victoires d’étapes sur le Tour de France
Tour d’Italie : 1960 et 1964
6 victoires d’étapes sur le Tour d’Italie
Tour d’Espagne : 1963
1 victoire d’étape sur le Tour d’Espagne
Grand prix des Nations : 1953, 1954, 1955, 1956, 1957, 1958, 1961, 1965 et 1966
Gand-Wevelgem : 1964
Bordeaux-Paris : 1965
Liège-Bastogne-Liège : 1966
Paris-Nice : 1957, 1961, 1963, 1965 et 1966
Critérium du Dauphiné libéré : 1963 et 1965
Quatre jours de Dunkerque : 1958, 1959
Critérium National : 1961, 1963, 1965, 1967
Critérium des As : 1959, 1960, 1963, 1965
Tour de Catalogne : 1968
Tour du Pays basque : 1969
Tour de Sardaigne : 1966
Tour du Var : 1968
Route d’Auvergne : 1963
Trophée Baracchi : 1962, 1965, 1968
Trophée de l’Île de Man : 1965
Trois Jours de Belgique : 1958
Roue d’Or : 1957, 1958, 1959, 1965, 1966, 1967
Bol d’Or des Monedières : 1955, 1962
Rouen-Lisieux-Rouen : 1953
Grand Prix de Lugano : 1953, 1954, 1958 à 1961, 1965
Grand Prix de Genève : 1955 à 1959
Grand Prix de Forlì : 1958 à 1961, 1965
Grand Prix de Bretagne : 1959
Six-Jours de Paris : 1957, 1958 (avec Darrigade et Terruzzi)
Record de l’heure
19 juin 1956 (46,159 km)
27 septembre 1967 (47,493 km, non homologué pour refus de se présenter au contrôle anti-dopage)
Record des 20 km
19 juin 1956 en 25' 57" 40"'
Champion de Normandie sur route : 1951, 1952
Champion de France sur route amateur : 1952
Champion de France de poursuite professionnelle : 1955, 1956, 1957
Médaille de bronze aux Jeux olympiques d'été de 1952 dans l'épreuve du 100 km sur route contre-la-montre par équipes, avec Tonello et Rouer
2e : Championnat du monde de cyclisme sur route : 1966
2e : Championnats du monde de poursuite : 1956
2e : Championnats de France de poursuite professionnel : 1957
2e : Championnats de France omnium professionnel : 1967
2e : Roue d’Or : 1956, 1960, 1962
2e : Gênes-Nice : 1957
2e : Critérium des As : 1954
2e : Tour de l’Hérault : 1967
2e : Ascension du Mont-Faron : 1968
2e : Grand Prix d’Alger : 1960 (contre-la-montre par équipe, avec le champion olympique français de la discipline sur 100 km en 1956, Roger Vermeulen)
3e : Championnats de France sur route professionnel : 1963, 1965
3e : Gand-Wevelgem : 1959
3e : Paris-Nice : 1969 (sa dernière saison professionnelle)
3e : Boucles de la Seine : 1958
3e : Critérium National : 1960
3e : Trophée Longines TTT de Rimini : 1960 (avec Stablinski, Darrigade, Graczyk et Elliott)
8e du classement mondial amateur en 1952
12e de l’épreuve olympique individuelle sur route en 1952

v.avoir

1. avoir à faire qch (= devoir ) = ต้อง
- J'ai à finir mon travail avant 5 heures.

2. avoir besoin de qn, de qch (de faire qch) = ต้อง, จำเป็นต้อง, ต้องการ
- Est-ce que tu as besoin d'argent pour sortir avec tes copains ?
- Elle a besoin de consulter un médecin.

3. avoir envie de qch (de faire qch) = อยาก
- J'ai envie d'une glace.
- J'ai envie d'aller au cinéma aujourd'hui.

4. avoir faim, soif, sommeil, chaud, froid = หิว, กระหายนํ้า, ง่วงนอน, (รู้สึก)ร้อน, (รู้สึก)หนาว
- Maman, j'ai faim ! Qu'est-ce qu'il y a à manger ?

5. avoir peur de qn, de qch (de faire qch) = กลัว
- Elle a peur de ne pas réussir à l'examen d'entrée.

6. avoir raison / avoir tort =(พูด, คิด, ทำ) ถูก / (พูด, คิด, ทำ) ผิด
- Tu aseu raison de rester à la maison. Le film était mauvais.

7. avoir sa raison (de faire qch) = มีเหตุผล
- Tu as ta raison de ne pas aimer les maths.

8. avoir l'intention de faire qch = ตั้งใจที่จะ
- J'ai l'intention de faire un voyage en Irlande.

9. avoir du retard = ช้าเกินกำหนดเวลา
- Le train de Chiangmaï a du retard aujourd'hui.

10. avoir l'heure = มีนาฬิกาบอกเวลา
- Vous avez l'heure, s'il vous plaît ? ... - Oui, il est tout juste 10 heures.

11. avoir le plaisir, la joie, le bonheur, l'honneur de faire qch = มีความ(รู้สึก)ยินดี, ดีใจ, มีความสุข, เป็นเกียรติ
- J'ai le plaisir de vous annoncer que vous pourrez consulter le site de l'école à partir du 1 novembre.

v.pouvoir

indicatif
 
présent
imparfait
passé simple
futur simple

je
tu
il, elle, on
nous
vous
ils, elles
peux, puis
peux
peut
pouvons
pouvez
peuvent
pouvais
pouvais
pouvait
pouvions
pouviez
pouvaient
pus
pus
put
pûmes
pûtes
purent
pourrai
pourras
pourra
pourrons
pourrez
pourront

formes composées / compound tenses
 
passé composé
plus-que-parfait
passé antérieur
futur antérieur

j'
tu
il, elle, on
nous
vous
ils, elles
ai pu
as pu
a pu
avons pu
avez pu
ont pu
avais pu
avais pu
avait pu
avions pu
aviez pu
avaient pu
eus pu
eus pu
eut pu
eûmes pu
eûtes pu
eurent pu
aurai pu
auras pu
aura pu
aurons pu
aurez pu
auront pu

subjonctif
 
présent
imparfait
passé
plus-que-parfait

que je
que tu
qu'il, elle, on
que nous
que vous
qu'ils, elles
puisse
puisses
puisse
puissions
puissiez
puissent
pusse
pusses
pût
pussions
pussiez
pussent
aie pu
aies pu
ait pu
ayons pu
ayez pu
aient pu
eusse pu
eusses pu
eût pu
eussions pu
eussiez pu
eussent pu

conditionnel
 
présent
 
passé
passé II

je
tu
il, elle, on
nous
vous
ils, elles
pourrais
pourrais
pourrait
pourrions
pourriez
pourraient
 
aurais pu
aurais pu
aurait pu
aurions pu
auriez pu
auraient pu
eusse pu
eusses pu
eût pu
eussions pu
eussiez pu
eussent pu

v. aller

Verbe
Je/J’
Tu
Il/elle
Nous
Vous
Ils/elles
 

appeler
appelle
appelles
appelle
appelons
appelez
appellent

acheter
achète
achètes
achète
achetons
achetez
achètent

manger
mange
manges
mange
mangeons
mangez
mangent

commencer
commence
commences
commence
commençons
commencez
commencent

préférer
préfère
préfères
préfère
préférons
préférez
préfèrent

employer
emploie
emploies
emploie
employons
employez
emploient